Ariana Grande : la main baladeuse d’un pasteur choque la toile (Vidéo)

3 septembre 2018 à 11h00 par Aurélie Amcn

VIBRATION
Crédit : Ariana Grande

Pendant les obsèques publiques de son idole Aretha Franklin, Ariana Grande a été littéralement tripotée par le prêtre. Une scène qui a choqué de nombreux internautes.

Ariana Grande était l’une des têtes d’affiche des obsèques d’Aretha Franklin, décédée le 16 août dernier à l’âge de 76 ans. Une cérémonie de près de huit heures qui se déroulait au Greater Grace Temple de Détroit, aux États-Unis, et au cours de laquelle la chanteuse de 25 ans a rendu un très bel hommage à la « reine de la soul » en interprétant sur scène l’un de ses plus grands succès, Natural Woman. Une prestation qui a été largement saluée par l’assemblée et par les internautes, mais aussi par le pasteur Charles Ellis. Ce dernier a rejoint la star sur scène afin de la remercier. Cependant, au-delà de son discours, c’est sa main baladeuse sur la poitrine d’Ariana Grande qui a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. 
Le hashtag #RespectAriana a même été lancé pour dénoncer toutes les attitudes déplacées dont a été victime la chanteuse pendant son interprétation : « Un prêtre qui utilise des funérailles pour abuser d’une femme publiquement, je ne sais pas quel Dieu tu sers, mais ce n'est sûrement pas le bon », « Ariana elle a un très grand self-control. Funérailles ou pas, tu me tripotes en public, je te calme direct. Tantine Aretha comprendra », « Ce petit pervers tâte son sein de manière appuyé, répété. C’est juste un aperçu de ce qu’elle doit subir au quotidien. Imaginez quand y’a pas les caméras ? » ou encore « Ariana était aux funérailles d’Aretha Franklin (…), quand elle chantait Bill Clinton ne s’est pas gêné pour la mater, sans aucune discrétion puis le prête lui a touché la poitrine », « Le problème n’est pas la tenue des femmes, mais le comportement des hommes ». 

Touché par ses critiques et ces accusations, le pasteur Charles Ellis a présenté ses excuses à Ariana Grande et aux Américains. « Je ne penserais jamais à toucher le sein de quiconque », a-t-il déclaré à la presse américain, avant d’avouer avoir « dépassé les bornes ».