Lisandro Cuxi a enfin pu retrouver son père !

15 septembre 2017 à 15h45 par Aurélie Amcn

VIBRATION

The Voice aura permis à Lisandro Cuxi de percer dans la musique, mais aussi de renouer avec son père qu'il n'avait pas revu pendant longtemps. Il nous raconte tout.

Lisandro Cuxi, c’est le grand gagnant de la dernière saison de l’émission The Voice. Si depuis les auditions à l’aveugle il était déjà l’un des favoris du célèbre télé-crochet de TF1, c’est véritablement lors des demi-finales qu’il a su conquérir le cœur des téléspectateurs en interprétant le titre ‘’Si seulement je pouvais lui manquer’’ de Calogero. Une chanson qu’il avait d’ailleurs dédiée à son père ; ce père qu’il n’a alors pas revu depuis plusieurs années. 

« JE SUIS ENFIN HEUREUX ! »

Après avoir dévoilé son premier single ‘’Danser’’ quelques jours seulement après sa victoire à The Voice en juin dernier, Lisandro Cuxi nous présente aujourd’hui son tout premier album intitulé Ma Bonne Etoile. Lors d’une interview accordée à un hebdomadaire français, le jeune chanteur de 18 ans nous en dit plus concernant la chanson "Vivre sans toi'' (média ci-dessous). Et pour cause, elle évoque l’absence d’un père. Un texte qui rappelle l’histoire du jeune cannois. « Mon père était très ému en l’écoutant. Depuis la demi-finale de The Voice, nous sommes redevenus proches. Grâce à l’émission, j’ai retrouvé mon père. Je suis enfin heureux ! », déclare-t-il à nos confrères.

M. POKORA, SON MENTOR 

Lisandro Cuxi pourrait donc désormais compter sur son père pour lui donner de précieux conseils comme pour passer son bac. « L’école n’est pas mon point fort. Je suis actuellement en lycée professionnel. Ma mère veut que je passe mon bac, alors je vais faire le maximum pour l’avoir », confie-t-il. Mais quant à sa toute jeune carrière musicale, il pourra toujours compter sur son coach de The Voice, M. Pokora : « Il me soutient humainement et artistiquement. Et on chantera sans doute en duo sur mon prochain album ». Mais le chanteur de 31 ans lui aurait surtout conseillé de « profiter des meufs ! », comme l’indique un autre grand tabloïd français.